Anne Ruwet : «Une année très intense !»

Anne Ruwet : «Une année très intense !»
Pierre Bertinchamps
Pierre Bertinchamps Journaliste

2018 a été un bon cru pour Anne Ruwet et le foot en général. La journaliste dresse son bilan avant de monter sur les planches en 2019…

L’année 2018 restera dans les mémoires que l’on soit fan de football ou pas du tout. Les Diables Rouges ont fait presque un sans-faute à la Coupe du Monde en Russie.

En télé, Anne Ruwet a tiré son épingle du jeu à la rentrée, laissant oublier rapidement que RTL avait dû céder l’Europa League à la RTBF. La journaliste est aujourd’hui aux commandes de la Champions League, la Croky Cup et la Nations League. Petit coup d’œil dans le rétro…

Que retenez-vous de 2018 ?

Franchement, c’était une année très riche en émotions. Que ce soit au niveau du foot sur RTL, avec la nouvelle compétition, la Nations League, ou encore la Coupe du Monde au travers des interventions dans les RTL Info, cet été. Avec Serge Vermeiren, nous avons travaillé comme des fous. C’était très intense.

Et une rentrée très chargée…

J’étais prévue sur la Nations League et la Coupe de Belgique, et concernant la Ligue des Champions, j’étais plutôt là comme journaliste, invitée en plateau. Ça s’est transformé en rôle d’animatrice, mais je n’ai pas eu plus de rendez-vous. Je suis quelqu’un qui n’arrête jamais. Malgré les congés, le 26 décembre (jour du Boxing Day de la Jupiler League, NDLR), j’ai regardé tous les matches.

La Ligue des Champions reprend en février, et en mai et juin, on aura plusieurs finales sur RTL-TVI… Je prendrai quelques jours de congé, avant le Tour de France. Un départ à Bruxelles, c’est l’événement de l’été à ne pas rater, et on va faire une couverture spéciale dans les RTL Info.

Entretien : Pierre Bertinchamps

Là, je profite de leur expérience. Il faut que j’apporte aussi ma pierre à l’édifice. Pour le texte, c’est fait, je le connais, mais il faut encore que je me lâche sur scène.

C’est nouveau le théâtre ?

J’ai pris des cours d’impro pendant sept ans. La grosse différence, c’est que dans l’impro, on réagit par rapport aux actions des autres. Le théâtre, c’est autre chose. On est pris par un texte qu’il faut apprendre et développer. La mécanique est tout autre, mais j’y prends du plaisir. J’ai hâte d’être face au public. On va rigoler du début à la fin.

Vous étiez demandeuse ?

Ça s’est fait comme ça… J’étais au bureau, et c’est Olivier Leborgne (nouveau metteur en scène de la troupe, NDLR) qui est venu me demander pour jouer dans la pièce. C’était un grand «oui» hyper-enthousiaste. J’ai dû gérer avec le foot, et on a modifié quelques dates pour que je puisse être présente à toutes les représentations.

2019 sera relax ?

Non, ce sera tout aussi intense que 2018 ! Il y a la pièce qui dure jusque début avril. Fin janvier, la Crocky Cup revient, avec une chouette équipe : l’Union Saint-gilloise. C’est le représentant de la D1B qui cartonne et ça nous fait plaisir de la voir dans une telle compétition.

La Ligue des Champions reprend en février, et en mai et juin, on aura plusieurs finales sur RTL-TVI… Je prendrai quelques jours de congé, avant le Tour de France. Un départ à Bruxelles, c’est l’événement de l’été à ne pas rater, et on va faire une couverture spéciale dans les RTL Info.

Entretien : Pierre Bertinchamps

Michel Preud’homme est en train d’installer un bon projet avec Ferrera. Il faut leur laisser du temps.

2019 va rimer avec stress pour la pièce du Télévie ?

Je prends du plaisir à regarder les autres jouer. Luc Gilson est exceptionnel du début à la fin. C’est du Louis de Funès. Pareil pour Sandrine Corman qui connaît déjà tout par cœur. Elle est très investie.

Là, je profite de leur expérience. Il faut que j’apporte aussi ma pierre à l’édifice. Pour le texte, c’est fait, je le connais, mais il faut encore que je me lâche sur scène.

C’est nouveau le théâtre ?

J’ai pris des cours d’impro pendant sept ans. La grosse différence, c’est que dans l’impro, on réagit par rapport aux actions des autres. Le théâtre, c’est autre chose. On est pris par un texte qu’il faut apprendre et développer. La mécanique est tout autre, mais j’y prends du plaisir. J’ai hâte d’être face au public. On va rigoler du début à la fin.

Vous étiez demandeuse ?

Ça s’est fait comme ça… J’étais au bureau, et c’est Olivier Leborgne (nouveau metteur en scène de la troupe, NDLR) qui est venu me demander pour jouer dans la pièce. C’était un grand «oui» hyper-enthousiaste. J’ai dû gérer avec le foot, et on a modifié quelques dates pour que je puisse être présente à toutes les représentations.

2019 sera relax ?

Non, ce sera tout aussi intense que 2018 ! Il y a la pièce qui dure jusque début avril. Fin janvier, la Crocky Cup revient, avec une chouette équipe : l’Union Saint-gilloise. C’est le représentant de la D1B qui cartonne et ça nous fait plaisir de la voir dans une telle compétition.

La Ligue des Champions reprend en février, et en mai et juin, on aura plusieurs finales sur RTL-TVI… Je prendrai quelques jours de congé, avant le Tour de France. Un départ à Bruxelles, c’est l’événement de l’été à ne pas rater, et on va faire une couverture spéciale dans les RTL Info.

Entretien : Pierre Bertinchamps

Dans quelques années, on verra plus de sport féminin à la télé. Je l’espère vraiment…

Le Standard  de Liège en 2018…

Le bilan n’est pas si mal. Ils nous apporté de bons moments en Europa League. Et le Standard  vient de valider sa position dans le top 6.

Michel Preud’homme est en train d’installer un bon projet avec Ferrera. Il faut leur laisser du temps.

2019 va rimer avec stress pour la pièce du Télévie ?

Je prends du plaisir à regarder les autres jouer. Luc Gilson est exceptionnel du début à la fin. C’est du Louis de Funès. Pareil pour Sandrine Corman qui connaît déjà tout par cœur. Elle est très investie.

Là, je profite de leur expérience. Il faut que j’apporte aussi ma pierre à l’édifice. Pour le texte, c’est fait, je le connais, mais il faut encore que je me lâche sur scène.

C’est nouveau le théâtre ?

J’ai pris des cours d’impro pendant sept ans. La grosse différence, c’est que dans l’impro, on réagit par rapport aux actions des autres. Le théâtre, c’est autre chose. On est pris par un texte qu’il faut apprendre et développer. La mécanique est tout autre, mais j’y prends du plaisir. J’ai hâte d’être face au public. On va rigoler du début à la fin.

Vous étiez demandeuse ?

Ça s’est fait comme ça… J’étais au bureau, et c’est Olivier Leborgne (nouveau metteur en scène de la troupe, NDLR) qui est venu me demander pour jouer dans la pièce. C’était un grand «oui» hyper-enthousiaste. J’ai dû gérer avec le foot, et on a modifié quelques dates pour que je puisse être présente à toutes les représentations.

2019 sera relax ?

Non, ce sera tout aussi intense que 2018 ! Il y a la pièce qui dure jusque début avril. Fin janvier, la Crocky Cup revient, avec une chouette équipe : l’Union Saint-gilloise. C’est le représentant de la D1B qui cartonne et ça nous fait plaisir de la voir dans une telle compétition.

La Ligue des Champions reprend en février, et en mai et juin, on aura plusieurs finales sur RTL-TVI… Je prendrai quelques jours de congé, avant le Tour de France. Un départ à Bruxelles, c’est l’événement de l’été à ne pas rater, et on va faire une couverture spéciale dans les RTL Info.

Entretien : Pierre Bertinchamps

J’ai eu cette même fierté avec les hockeyeurs qui sont rentrés avec une coupe du monde. Le sport belge n’est plus un petit poucet. Je ne vais pas dire qu’on peut bomber le torse. Restons humbles, mais nous avons montré que l’on pouvait compter sur la scène internationale. Profitons de ces générations exceptionnelles à travers tous les sports.

Vous suivez le sport féminin ?

Ça m’intéresse dans l’esprit de faire découvrir une compétition au public. J’ai l’impression que ce cap n’est pas encore passé. Les filles qui participent aussi à l’enthousiasme.

Dans quelques années, on verra plus de sport féminin à la télé. Je l’espère vraiment…

Le Standard  de Liège en 2018…

Le bilan n’est pas si mal. Ils nous apporté de bons moments en Europa League. Et le Standard  vient de valider sa position dans le top 6.

Michel Preud’homme est en train d’installer un bon projet avec Ferrera. Il faut leur laisser du temps.

2019 va rimer avec stress pour la pièce du Télévie ?

Je prends du plaisir à regarder les autres jouer. Luc Gilson est exceptionnel du début à la fin. C’est du Louis de Funès. Pareil pour Sandrine Corman qui connaît déjà tout par cœur. Elle est très investie.

Là, je profite de leur expérience. Il faut que j’apporte aussi ma pierre à l’édifice. Pour le texte, c’est fait, je le connais, mais il faut encore que je me lâche sur scène.

C’est nouveau le théâtre ?

J’ai pris des cours d’impro pendant sept ans. La grosse différence, c’est que dans l’impro, on réagit par rapport aux actions des autres. Le théâtre, c’est autre chose. On est pris par un texte qu’il faut apprendre et développer. La mécanique est tout autre, mais j’y prends du plaisir. J’ai hâte d’être face au public. On va rigoler du début à la fin.

Vous étiez demandeuse ?

Ça s’est fait comme ça… J’étais au bureau, et c’est Olivier Leborgne (nouveau metteur en scène de la troupe, NDLR) qui est venu me demander pour jouer dans la pièce. C’était un grand «oui» hyper-enthousiaste. J’ai dû gérer avec le foot, et on a modifié quelques dates pour que je puisse être présente à toutes les représentations.

2019 sera relax ?

Non, ce sera tout aussi intense que 2018 ! Il y a la pièce qui dure jusque début avril. Fin janvier, la Crocky Cup revient, avec une chouette équipe : l’Union Saint-gilloise. C’est le représentant de la D1B qui cartonne et ça nous fait plaisir de la voir dans une telle compétition.

La Ligue des Champions reprend en février, et en mai et juin, on aura plusieurs finales sur RTL-TVI… Je prendrai quelques jours de congé, avant le Tour de France. Un départ à Bruxelles, c’est l’événement de l’été à ne pas rater, et on va faire une couverture spéciale dans les RTL Info.

Entretien : Pierre Bertinchamps

Nous avons donc essayé de rendre nos interventions très accessibles pour que tant la grand-mère que le petit garçon comprennent. C’était le même défi que lors de la Coupe du Monde. C’était certes un rendez-vous hyper-festif avec pas mal d’émotions, où on y a aussi apporté du contenu pour capter les amateurs de foot. C’était très enrichissant.

Vous êtes déçue par l’élimination de la Belgique en Nations League ?

Il y a un «syndrome» qui pose question. À chaque fois qu’il y a une dernière étape importante à dépasser, les Diables ne sont pas au rendez-vous. Ça me fait un peu peur… J’espère que dans la prochaine compétition, notre équipe va répondre aux attentes, jusqu’au bout. Ce dernier rendez-vous contre la Suisse a été manqué. Ils nous ont offert de belles choses et ils avaient obtenu un bon tirage. C’est dommage. Mais si ça peut donner une petite claque pour rebondir… Il faut noter que la Belgique termine première du classement FIFA en 2018, et on a une génération dorée fantastique.

Quelle est l’image que vous retenez de 2018 ?

C’est l’image du match contre le Brésil, lors de la Coupe du Monde. Je me souviens avoir passé la soirée avec des amis, amateurs de foot, et j’ai eu l’impression que le temps s’était arrêté. Toute la Belgique était tenue en haleine. C’est même plus fort que la rencontre contre le Japon, parce qu’il y avait cette petite fierté de battre une équipe prestigieuse. Là, on s’est rendus compte que l’on vivait quelque chose d’incroyable et de formidable.

J’ai eu cette même fierté avec les hockeyeurs qui sont rentrés avec une coupe du monde. Le sport belge n’est plus un petit poucet. Je ne vais pas dire qu’on peut bomber le torse. Restons humbles, mais nous avons montré que l’on pouvait compter sur la scène internationale. Profitons de ces générations exceptionnelles à travers tous les sports.

Vous suivez le sport féminin ?

Ça m’intéresse dans l’esprit de faire découvrir une compétition au public. J’ai l’impression que ce cap n’est pas encore passé. Les filles qui participent aussi à l’enthousiasme.

Dans quelques années, on verra plus de sport féminin à la télé. Je l’espère vraiment…

Le Standard  de Liège en 2018…

Le bilan n’est pas si mal. Ils nous apporté de bons moments en Europa League. Et le Standard  vient de valider sa position dans le top 6.

Michel Preud’homme est en train d’installer un bon projet avec Ferrera. Il faut leur laisser du temps.

2019 va rimer avec stress pour la pièce du Télévie ?

Je prends du plaisir à regarder les autres jouer. Luc Gilson est exceptionnel du début à la fin. C’est du Louis de Funès. Pareil pour Sandrine Corman qui connaît déjà tout par cœur. Elle est très investie.

Là, je profite de leur expérience. Il faut que j’apporte aussi ma pierre à l’édifice. Pour le texte, c’est fait, je le connais, mais il faut encore que je me lâche sur scène.

C’est nouveau le théâtre ?

J’ai pris des cours d’impro pendant sept ans. La grosse différence, c’est que dans l’impro, on réagit par rapport aux actions des autres. Le théâtre, c’est autre chose. On est pris par un texte qu’il faut apprendre et développer. La mécanique est tout autre, mais j’y prends du plaisir. J’ai hâte d’être face au public. On va rigoler du début à la fin.

Vous étiez demandeuse ?

Ça s’est fait comme ça… J’étais au bureau, et c’est Olivier Leborgne (nouveau metteur en scène de la troupe, NDLR) qui est venu me demander pour jouer dans la pièce. C’était un grand «oui» hyper-enthousiaste. J’ai dû gérer avec le foot, et on a modifié quelques dates pour que je puisse être présente à toutes les représentations.

2019 sera relax ?

Non, ce sera tout aussi intense que 2018 ! Il y a la pièce qui dure jusque début avril. Fin janvier, la Crocky Cup revient, avec une chouette équipe : l’Union Saint-gilloise. C’est le représentant de la D1B qui cartonne et ça nous fait plaisir de la voir dans une telle compétition.

La Ligue des Champions reprend en février, et en mai et juin, on aura plusieurs finales sur RTL-TVI… Je prendrai quelques jours de congé, avant le Tour de France. Un départ à Bruxelles, c’est l’événement de l’été à ne pas rater, et on va faire une couverture spéciale dans les RTL Info.

Entretien : Pierre Bertinchamps

Le foot anime ma vie au quotidien, même quand je ne suis pas à RTL. Au départ, c’était juste un passe-temps… Plus j’ai des émissions sur le foot, mieux c’est ! Et il y a une très bonne ambiance en plateau avec les consultants.

Ce n’est pas trop ?

Non, justement, je n’ai pas le temps de gamberger, et je repars tout de suite sur une autre émission. Tout s’enchaîne bien… Alors, on est un peu déçus de la Nations League, avec le dernier match des Diables Rouges. Mais, on diffusera la finale de la compétition, en juin prochain, sur RTL… Ça faisait quand même plaisir de retrouver l’équipe nationale belge sur RTL, juste après un beau Mondial. Et le public a apprécié aussi.

Il y a un côté prestigieux ?

Les Diables Rouges appartiennent à tout le monde. Ça veut dire qu’il y a des personnes qui ne regardent le foot que quand les Diables jouent. On peut considérer que c’est un rendez-vous familial qui réunit tout le monde.

Nous avons donc essayé de rendre nos interventions très accessibles pour que tant la grand-mère que le petit garçon comprennent. C’était le même défi que lors de la Coupe du Monde. C’était certes un rendez-vous hyper-festif avec pas mal d’émotions, où on y a aussi apporté du contenu pour capter les amateurs de foot. C’était très enrichissant.

Vous êtes déçue par l’élimination de la Belgique en Nations League ?

Il y a un «syndrome» qui pose question. À chaque fois qu’il y a une dernière étape importante à dépasser, les Diables ne sont pas au rendez-vous. Ça me fait un peu peur… J’espère que dans la prochaine compétition, notre équipe va répondre aux attentes, jusqu’au bout. Ce dernier rendez-vous contre la Suisse a été manqué. Ils nous ont offert de belles choses et ils avaient obtenu un bon tirage. C’est dommage. Mais si ça peut donner une petite claque pour rebondir… Il faut noter que la Belgique termine première du classement FIFA en 2018, et on a une génération dorée fantastique.

Quelle est l’image que vous retenez de 2018 ?

C’est l’image du match contre le Brésil, lors de la Coupe du Monde. Je me souviens avoir passé la soirée avec des amis, amateurs de foot, et j’ai eu l’impression que le temps s’était arrêté. Toute la Belgique était tenue en haleine. C’est même plus fort que la rencontre contre le Japon, parce qu’il y avait cette petite fierté de battre une équipe prestigieuse. Là, on s’est rendus compte que l’on vivait quelque chose d’incroyable et de formidable.

J’ai eu cette même fierté avec les hockeyeurs qui sont rentrés avec une coupe du monde. Le sport belge n’est plus un petit poucet. Je ne vais pas dire qu’on peut bomber le torse. Restons humbles, mais nous avons montré que l’on pouvait compter sur la scène internationale. Profitons de ces générations exceptionnelles à travers tous les sports.

Vous suivez le sport féminin ?

Ça m’intéresse dans l’esprit de faire découvrir une compétition au public. J’ai l’impression que ce cap n’est pas encore passé. Les filles qui participent aussi à l’enthousiasme.

Dans quelques années, on verra plus de sport féminin à la télé. Je l’espère vraiment…

Le Standard  de Liège en 2018…

Le bilan n’est pas si mal. Ils nous apporté de bons moments en Europa League. Et le Standard  vient de valider sa position dans le top 6.

Michel Preud’homme est en train d’installer un bon projet avec Ferrera. Il faut leur laisser du temps.

2019 va rimer avec stress pour la pièce du Télévie ?

Je prends du plaisir à regarder les autres jouer. Luc Gilson est exceptionnel du début à la fin. C’est du Louis de Funès. Pareil pour Sandrine Corman qui connaît déjà tout par cœur. Elle est très investie.

Là, je profite de leur expérience. Il faut que j’apporte aussi ma pierre à l’édifice. Pour le texte, c’est fait, je le connais, mais il faut encore que je me lâche sur scène.

C’est nouveau le théâtre ?

J’ai pris des cours d’impro pendant sept ans. La grosse différence, c’est que dans l’impro, on réagit par rapport aux actions des autres. Le théâtre, c’est autre chose. On est pris par un texte qu’il faut apprendre et développer. La mécanique est tout autre, mais j’y prends du plaisir. J’ai hâte d’être face au public. On va rigoler du début à la fin.

Vous étiez demandeuse ?

Ça s’est fait comme ça… J’étais au bureau, et c’est Olivier Leborgne (nouveau metteur en scène de la troupe, NDLR) qui est venu me demander pour jouer dans la pièce. C’était un grand «oui» hyper-enthousiaste. J’ai dû gérer avec le foot, et on a modifié quelques dates pour que je puisse être présente à toutes les représentations.

2019 sera relax ?

Non, ce sera tout aussi intense que 2018 ! Il y a la pièce qui dure jusque début avril. Fin janvier, la Crocky Cup revient, avec une chouette équipe : l’Union Saint-gilloise. C’est le représentant de la D1B qui cartonne et ça nous fait plaisir de la voir dans une telle compétition.

La Ligue des Champions reprend en février, et en mai et juin, on aura plusieurs finales sur RTL-TVI… Je prendrai quelques jours de congé, avant le Tour de France. Un départ à Bruxelles, c’est l’événement de l’été à ne pas rater, et on va faire une couverture spéciale dans les RTL Info.

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